dimanche 9 juin 2019

On n'est pas rendu à Loches!

Merci, François, pour cette expression qui nous renvoie à la période de l'occupation, à la zone Nono et à la ligne de démarcation. Elle s'est pourtant révélée fausse. Car, notre groupe de chasseurs s'est donné rendez-vous pour sa réunion annuelle justement à Loches ou du moins près de Loches, à Genillé.
Dans la douceur tourangelle, nous avons apprécié de nous retrouver une nouvelle fois dans un gite très sympathique et bien aménagé, dans un cadre bucolique, au milieu des champs, tout près des bois.
Dès le premier soir du 3 juin, nous n'avons pas perdu notre temps et avons pu prendre l'apéritif dehors, tantôt au soleil, tantôt à l'ombre du grand tilleul.
Pour le dîner, nous avons préféré disposer la table là où le soleil donnait encore.
Mais qui était là? Tout d'abord, ceux qui n'ont jamais manqué le rendez-vous annuel, Chantal et Serge (dits Change27), il y avait aussi les régionaux de l'année, venus de Tours, Arlette et François. Ensuite, Danielle et Bruno (Brunodumaine) venus de Mayenne, dans la Mayenne, sur la Mayenne. Aussi, Nicole et Michel (Montnicou et Cléon de Byzergues) dont on peut dire que ce dernier était sur le point de réaliser son rêve en venant à Loches. Et puis, Richard (Quercus49) venu d'Angers, nous rejoindre le mardi et le jeudi,
Est-ce tout? Eh bien, oui, malheureusement, parce que notre amie Emmanuelle (Emmabird) n'avait pu nous rejoindre à cause de ses problèmes de santé. Elle nous a beaucoup manqué.
Dés le lendemain matin, nous avons décidé de visiter Loches, magnifique cité, riche de toutes sortes de vestiges du passé, et en particulier, ce qui avait motivé notre venue dans la région, le tombeau d'Agnès Sorel, sujet des fantasmes de Michel.


On voit ici ce tombeau et en même temps le visage extatique de Michel recueilli devant le gisant de la Dame de Beauté.





Bon, passons...

Après une visite de la ville et un déjeuner pris au restaurant La Crépicoise, nous sommes allés à Chédigny, le village des roses. Là, au milieu des parfums de fleurs, nous avons pris la pose devant un photographe professionnel qui se trouvaient justement en train de travailler.
Le lendemain mercredi 5 juin, le temps n'étant pas au top de nos souhaits, nous avons décidé d'aller à Nouans-les-Fontaines, où nous avons découvert de curieux petits patrimoines.
L'après-midi, nous sommes allés à Montpoupon, où nous avions au moins la chance d'être abrités pour visiter le château et ses communs dédiés à la vénerie.
Durant la soirée, nous avons pu connaître le bonheur d'un (court, mais néanmoins intense) récital de piano.
Le lendemain, jeudi, le beau temps s'il n'était que mitigé nous permit de sortir. Nous avons d'ailleurs noté que le retour d'un temps sec correspondait avec celui de Richard qui avait refait le voyage pour nous rejoindre. Richard fait-il la pluie et le beau temps?
Ce matin-là, nous avons pris la direction de la Chartreuse du Liget, ce qui nous a permis de découvrir peu après le château-monastère de la Corroirie.



Quand on voit le ciel sur cette photo, on peut être amené à s'interroger sur la réalité du beau temps.


Après un déjeuner au Café de la Ville, nous sommes partis à la découverte de Montrésor. Cette jolie petite ville nous a fait découvrir d'autres merveilles, comme ce paysage des bords de l'Indrois qui nous a mis la tête à l'envers.
Nous avons fini l'après-midi devant le hameau de la Forêt des Livres à Chanceaux-près-Loches.


Devant cet endroit, nous avons pu goûté aux macarons de Montrésor offerts par Danielle et Bruno.




Serge qui n'a pas oublié notre site bien aimé, celui qui nous a permis de nous rencontrer, nous a proposé trois énigmes: il s'agissait de découvrir où ces trois photos avaient été prises dans Montrésor.
           











Tout le monde s'est précipité pour chercher les solutions. Mais il y avait un piège!



Le jeudi soir, François et Michel ont tâché d'oublier que c'était la fin de notre séjour.








Voilà! Encore une belle réunion terminée trop tôt. Et pourtant nous l'avions allongée d'une journée.
Emmanuelle, reviens-nous vite! Nous t'attendons pour l'année prochaine et même avant si l'occasion s'en présente.
A propos de l'année prochaine, nous avons beaucoup discuté de la direction que nous prendrons.
Nous verrons à l'automne si nous prendrons la direction de Gien, de Poitiers ou d'ailleurs...

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