Rappelez vous, il y a un an et des poussières (le 12 décembre 2013 exactement) le classement avait été photographié à l'instant où Change27 avait réussi à repasser devant Rhumeur. Ils totalisaient tous les deux un peu plus de 746000 étoiles.
Aujourd'hui, un an plus tard, regardez le score auquel chacun arrive. C'est amusant!
Inutile de commenter l'évolution de ce classement.
dimanche 21 décembre 2014
vendredi 6 juin 2014
Pithiverais, Orléanais et Montargois
Nous avons non seulement "Déjeuner en paix" à Attray, mais encore profité de l'art de vivre en Pithiverais sans oublier le soulagement que l'on éprouve aux bois droit dans leurs bottes.
Après le traditionnel coup de rouge gourmand...
Alors qu'ils remontent le temps, l'heure tourne et nos amis ont rendez-vous au bateau-lavoir où les attendent le Triporteur...
Après le traditionnel coup de rouge gourmand...
nos amis décidèrent d'aller faire du shopping à Orléans.
Dame Jeanne y faisait son marché : "Boutez-moi ces patates hors de là !"
Ce n'est plus celle que vous croyez... n'a-t-elle pas été reçue dans une maison qui ne date que de 1965 comme en témoigne cette inscription :
Alors qu'ils remontent le temps, l'heure tourne et nos amis ont rendez-vous au bateau-lavoir où les attendent le Triporteur...
qui y bat le pavé depuis 1830.
A peine attablés, nos chasseurs établissent rigoureusement le plan de la battue.
Une fois sur le terrain, la certitude d'atteindre l'inaccessible étoile laisse place à un infini vertige.
Afin de revenir sur terre, une promenade dans le jardin de Saint-Marceau s'impose.
Est-ce une nouvelle hallucination ? Ce mur ondule ! Les maçons avaient-ils pris un coup de rouge gourmand ?
"Admirer ce qui se cache !" Alors que d'autres mystères de la nature se dévoilent au regard curieux de ceux qui ont soif de connaissance.
Toutes ces aventures méritaient bien une gourmandise.
Un autre compte-rendu de ce week-end sur http://petitpatrimoine.overblog.com/
mercredi 4 juin 2014
Vinaillou au vin
Voici ma recette de Vinaillou, qui diffère un peu de la recette officielle.
le Vinaillou est un biscuit sablé au cabernet d'Anjou.
Pour 8 personnes
250 g de Farine
100 g de beurre
50 g de sucre
de la poudre à lever
1 jaune d'oeuf
une pincée de sel
3/4 de verre d'huile d'arachide.
2 à 3 verres de Cabernet d'Anjou (rosé demi-sec) moi j'ai mis de l'Aubance (blanc sec)
On peut faire aussi des Vinaillou au sirop de rose, à l'hypocras, au miel...
1- Préparez la pâte (vous savez faire)
2- rajoutez le vin
3- Mélangez
4- Laissez reposer 1 heure dans un endroit frais.
5- Etalez la pâte sur 5 mm
6- Découpez en rectangle.
7- mettre au four préchauffé à 180° (sur mon petit four c'est thermostat 6)
8- laissez cuire entre 15 et 25 minutes (là pour la cuisson comme je ne suis pas doué, je surveille et c'est un peu au feeling).
Ensuite mangez les avec des griottines au Cointreau posées sur une boule de glace vanille et de la chantilly.
C'est tout simple, même moi qui ne sais pas cuisiner j'y arrive (une fois sur deux)
le Vinaillou est un biscuit sablé au cabernet d'Anjou.
Pour 8 personnes
250 g de Farine
100 g de beurre
50 g de sucre
de la poudre à lever
1 jaune d'oeuf
une pincée de sel
3/4 de verre d'huile d'arachide.
2 à 3 verres de Cabernet d'Anjou (rosé demi-sec) moi j'ai mis de l'Aubance (blanc sec)
On peut faire aussi des Vinaillou au sirop de rose, à l'hypocras, au miel...
1- Préparez la pâte (vous savez faire)
2- rajoutez le vin
3- Mélangez
4- Laissez reposer 1 heure dans un endroit frais.
5- Etalez la pâte sur 5 mm
6- Découpez en rectangle.
7- mettre au four préchauffé à 180° (sur mon petit four c'est thermostat 6)
8- laissez cuire entre 15 et 25 minutes (là pour la cuisson comme je ne suis pas doué, je surveille et c'est un peu au feeling).
Ensuite mangez les avec des griottines au Cointreau posées sur une boule de glace vanille et de la chantilly.
C'est tout simple, même moi qui ne sais pas cuisiner j'y arrive (une fois sur deux)
mardi 3 juin 2014
Ma recette de croquants
Cédant à la demande générale, je me résous à vous révéler la recette des croquants que vous avez semblé beaucoup apprécier!!
50g d'amandes avec la peau
50g de noisettes avec la peau
250g de sucre semoule
60g de farine tamisée
60g de blancs d'oeuf
Préchauffer le four entre 180 et 200° (cela dépend si votre four chauffe beaucoup ou non!)
Couper en morceaux les amandes avec la peau et concasser les noisettes également avec leur peau. Vous pouvez y mettre des noix ou autres fruit secs.
Mélanger à l'aide d'une spatule, les amandes avec les noisettes et le sucre semoule. Ajouter ensuite les blancs d'oeuf non battus puis incorporer, sans trop travailler la pâte, la farine tamisée.
Recouvrir une plaque de cuisson de papier sulfurisé. Répartir dessus, l'appareil à croquants en petits tas avec une cuillère à café tout en les espaçant les uns des autres. Enfourner et compter entre 7 et 8 minutes de cuisson.
La cuisson terminée, laisser refroidir à température ambiante. Les décoller ensuite, les dresser et les déguster bien sûr! Ces croquants peuvent se réaliser 15 jours à l'avance et être conservés dans une boite hermétique.
Mais mon petit doigt me dit que vous ne tiendrez pas aussi longtemps!!!!
50g d'amandes avec la peau
50g de noisettes avec la peau
250g de sucre semoule
60g de farine tamisée
60g de blancs d'oeuf
Préchauffer le four entre 180 et 200° (cela dépend si votre four chauffe beaucoup ou non!)
Couper en morceaux les amandes avec la peau et concasser les noisettes également avec leur peau. Vous pouvez y mettre des noix ou autres fruit secs.
Mélanger à l'aide d'une spatule, les amandes avec les noisettes et le sucre semoule. Ajouter ensuite les blancs d'oeuf non battus puis incorporer, sans trop travailler la pâte, la farine tamisée.
Recouvrir une plaque de cuisson de papier sulfurisé. Répartir dessus, l'appareil à croquants en petits tas avec une cuillère à café tout en les espaçant les uns des autres. Enfourner et compter entre 7 et 8 minutes de cuisson.
La cuisson terminée, laisser refroidir à température ambiante. Les décoller ensuite, les dresser et les déguster bien sûr! Ces croquants peuvent se réaliser 15 jours à l'avance et être conservés dans une boite hermétique.
Mais mon petit doigt me dit que vous ne tiendrez pas aussi longtemps!!!!
lundi 2 juin 2014
RENCONTRES LOIRETAINES.
La règle démocratique l’avait décidé : à la majorité
des voix, en 2014, ce sera le Loiret.
L’habile et futée Bernadette (La Pélerine Jaune) se mit en
recherche et son flair légendaire nous dégotta à Attray, un gite capable de
tous nous accueillir. Il y avait même un abri pour ceux qui vivent dans une
roulotte tout le long de l’année labourant infatigablement les routes de France.
Les premiers arrivés furent justement Chantal et Serge (Change27)
suivis de près par Nicole et Michel (Montnicou et aussi un autre pseudo pas sérieux).
Découvrant le gite qui nous accueillait, les comparaisons avec celui de l’an
passé étaient toutes à son avantage. L’accueil chaleureux des propriétaires ne
pouvait qu’ajouter à la bonne impression éprouvée.
Le lendemain, jeudi, alors qu’une énigme était déposée à l’aube,
arrivèrent les autres membres de la communauté ; Delphine et Laurent
(Aspalie), Anne-Marie et Jean-Claude (Tamlam), Bernadette notre bien aimée
organisatrice, Emmanuelle (Emmabird, dite Emmazoziau), Dominique (Clovis8) et
Julien (Julien, qui ne s’appelle pas Julien, quoique si quand même, mais pas
tout à fait comme ça).
Les réjouissances purent commencer et la question qui
reviendra tout le long du weekend fut posée par les uns et les autres dans
différentes variantes : « Où va-t-on ? », « Où allons-nous ? »,
« Qu’est-ce qu’on fait ? » mais jamais « ousqu’on va ? »
parce que tous sont sortis du CM2 avec mention.
Après avoir été brûlés au troisième degré par le curry de la
dinde fourni par l’inconséquent Cléon, nous avons embarqué pour une exploration
des environs, découvrant Pithiviers, Yèvre-le-Chatel (si, Bernadette, nous y
sommes allés !), Boynes (à donf), Beaune-la-Rolande (mais trop tard pour
entrer dans l’église et la crypte, dommage !), Nibelle (très intéressant
château du Hallier) et le château de Chamerolles (admiré de loin).
Le soir, l’heure de l’apéritif fut appréciée par tous et le
repas qui suivit fut pris dans la bonne humeur.
A noter que Pithiviers nous offrit (d’une façon toute
relative) l’occasion de gouter la spécialité locale : le pithiviers fondant.
Le lendemain, vendredi fut consacré à Orléans. Avant, nous récupérâmes
Richard (Quercus49) arrivé de bonne heure, les bras chargés de cadeaux (fameux,
les vinaillous) puis Arlette et François (François, oui, un pseudo qui n’est
pas un pseudonyme). A Orléans, nous rejoignirent, Marie et William (William, autre
pseudo-pseudonyme).
Après une promenade riche en étoiles virtuelles, nous nous
sommes tous retrouvés au Bateau-lavoir, restaurant sur la Loire où nous avons
savouré un agréable déjeuner quoique le poulet ne fût pas très cuit. C’était le
point culminant de la réunion, puisque nous étions dix-sept autour de la table
en étoile Mercedes.
Après une pose sur le ponton du restaurant, l’après-midi
nous vit repartir à la recherche des merveilles orléanaises.
Marie et William avaient des bagages à préparer et ils nous
quittèrent, alors que nous finissions d’explorer les derniers PP qui nous
attendaient sagement sur la rive gauche de la Loire.
Le retour au bercail nous permit de reprendre les activités
apéritives. A cette occasion, un sort funeste et joyeux fut réservé aux
bouteilles de crémant apportées par Richard. Celui-ci nous quitta alors que la
nuit tombait doucement sur le Loiret.
Le lendemain, samedi, vit le départ de Delphine et Laurent.
Notre groupe ne se composait plus que de douze membres, mais quels membres !
De lourdes tractations s’étaient engagées depuis deux jours,
pour savoir où nous nous dirigerions ce samedi. Les uns penchaient pour
Montargis, tandis qu’une autre faction militait pour le sud et les bords de
Loire.
Finalement, ce fut la deuxième option qui fut retenue, sans
que personne n’en vienne aux mains car nous sommes des gens aux mœurs pacifiques.
Ainsi, nous découvrîmes Fay-aux-loges, Saint-Denis-de-l’Hôtel,
Chateauneuf-sur-Loire, Germigny-des-Prés (magnifique), Saint-Benoit-sur-Loire
(merveilleux), Sully-sur-Loire (fabuleux), Guilly et surtout Tigy où sous nos
yeux éblouis, la fontaine Saint-Clair déploya ses splendeurs (certes, il vaut
mieux voir ça que d’être aveugle, bien que ..!).
Le pique-nique à Germigny fut marqué par l’intrépidité de
Julien qui eut à cœur de nous offrir un dessert de cerises. Dominique et
Bernadette de leur côté, furent mises à contribution pour aller chercher du vin
et du pain.
Puis, une nouvelle soirée s’offrit à nous, la dernière, mais
pas la moins joyeuse.
Et le lendemain, Dimanche, ce fut la séparation. Seuls, quelques
irréductibles se regroupèrent à six pour explorer Montargis et son patrimoine,
tandis que le reste de la troupe s’éparpillait entre les bords de Loire, ceux
de la Seine ou Radepont.
Et voilà ! C’était fini. Rendez-vous est pris pour l’année
prochaine avec toujours la même question : où ira-t-on ?
Ah, oui ! Il y a quand même une autre question qui nous
hante depuis notre départ du gite d’Attray : où est la culotte d’Anne-Marie ?
mercredi 5 mars 2014
Assassino !
Turandot a eu raison de Calaf…
Purée ! Paraît que certains légumes ne supportent pas la
compagnie de certains fruits, me disait Emmabird. Les oignons font bien mûrir
trop vite les patates…
Le pH de l'orange en serait-il la cause ?
Voici en tout cas l'expérience de la pomme de terre négative réussie, à défaut de nous l'apporter dans quelques
mois !
samedi 11 janvier 2014
NOUVELLES (mauvaises) DE LA PATATE
Hélas! Trois fois hélas!
Ce que nous craignions s'est produit et même plus tôt que nous ne le pensions. Notre chère protégée n'a pas supporté la trahison dont elle a été victime (voir ici). Après avoir été subornée par un infâme séducteur, elle a perdu le goût de vivre. On peut dire que jour après jour, elle s'est renfermée sur elle-même, ne voulant plus participer aux activités de ses compagnes de jeu.
Osons dire le mot : elle s'est ratatinée.
La nuit dernière, elle a été victime d'une hémorragie fort heureusement peu importante, mais qui ne laisse pas présager une quelconque amélioration.
Aujourd'hui, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, et encore faudrait-il qu'elle en ait une !
L'issue fatale est inéluctable et il est même envisagé d'avoir recours à l'euthanasie afin d'abréger ses souffrances.
Suivant ses propres volontés, ses obsèques auront lieu dans la plus stricte intimité en présence de quelques pommes restées fidèles en amitié et avec lesquelles elle passe ses derniers jours.
Cela ne nous empêchera pas de faire la teuf à l'Ascension.
Ce que nous craignions s'est produit et même plus tôt que nous ne le pensions. Notre chère protégée n'a pas supporté la trahison dont elle a été victime (voir ici). Après avoir été subornée par un infâme séducteur, elle a perdu le goût de vivre. On peut dire que jour après jour, elle s'est renfermée sur elle-même, ne voulant plus participer aux activités de ses compagnes de jeu.
Osons dire le mot : elle s'est ratatinée.
La nuit dernière, elle a été victime d'une hémorragie fort heureusement peu importante, mais qui ne laisse pas présager une quelconque amélioration.
Aujourd'hui, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, et encore faudrait-il qu'elle en ait une !
L'issue fatale est inéluctable et il est même envisagé d'avoir recours à l'euthanasie afin d'abréger ses souffrances.
Suivant ses propres volontés, ses obsèques auront lieu dans la plus stricte intimité en présence de quelques pommes restées fidèles en amitié et avec lesquelles elle passe ses derniers jours.
Cela ne nous empêchera pas de faire la teuf à l'Ascension.
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