Certains ont dit que l'année 2016
allait être celle du Brésil à cause de quelques événements
sportifs qui vont y avoir lieu.
Pas pour nous !
Pour nous autres, Chasseurs de P.P.,
c'est l'année de l'Anjou.
A nouveau, du 5 au 8 mai, nous
avons pu nous réunir, cette fois-ci à Denée dans un cadre
bucolique entre Louet et Loire. Logés dans un ancien prieuré auquel
était adjointe une chapelle, nous avons pu bénéficier d'un temps
exceptionnel pour un début mai.
Il y avait le groupe habituel composé
de La Pélerine Jaune (Bernadette),
Emmabird (Emmanuelle), Change27
(Chantal et Serge), Tamlam (Anne-Marie
et Jean-Claude), François (Arlette et
François), Clovis8 (Dominique),
Julien (Julien), Montnicou (Nicole),
Cléon de Byzergues (Michel). Nous avait
rejoint une jeune recrue amenée par Bernadette : Aigle
azur (Maxime). Et aux repas, nous avons eu le plaisir
d'accueillir Quercus49 (Richard) et
Brunodumaine (Danielle et Bruno).
A seize autour de la table, il valait
mieux ne pas avoir besoin de trop de place.
Nos différents GPS ont eu du mal à
localiser l'endroit du premier rendez-vous qui était l'auberge
Montrivet à Denée. Dans ce lieu rustique, nous avons pu savourer le
plaisir de nous retrouver autour d'un bon repas.
Après l'installation au gîte, la chasse fut lancée, ce qui permit de découvrir les beautés des alentours tels Saint-Aubin, Savennières, Chaudefonds, Chalonnes, etc..
Le soir, nous avons continué les découvertes avec la Soupe Angevine préparée par Richard (vive lui!). Si cette soupe n'a fait grandir personne, tout le monde l'a trouvée à son goût. Si certains sont intéressés par la recette, ils peuvent la trouver sur plusieurs sites tels :Marmiton (cliquer ici) ou 1001 cocktails (cliquer là).
Sinon, encore plus simple, demander à
Richard (oui, vive Richard!).
Ensuite, il y eut des tartes diverses
et variées. Merci à Dominique de nous livrer sa recette de tarte au
bleu et épinards (vive Dominique !).
Tandis que Nicole s'inquiète des desseins du photographe, la CPE (surgé) Bernadette ne peut lâcher son téléphone.
A droite, on voit Julien se cramponner à la bouteille quand il a constaté qu'Emmanuelle la regardait avec concupiscence.
Le lendemain fut consacré à Angers,
ville magnifique riche d'un patrimoine énorme et varié. Là, il y
eut les courageux qui suivirent Richard pour cueillir un maximum
d'étoiles et les moins alertes qui préférèrent faire un tour de
ville plus restreint.
Et le soir, après un kir au cassis
artisanal, nous avons fait honneur à d'abondantes spaghetti à la
bolognaise.
La soirée s'est poursuivie dans la
recherche d'un planning de chasse idéal.
Atmosphère studieuse autour de la table. Chacun étudie avec grand sérieux son programme du lendemain.
Le samedi fut donc consacré à la
route qui longe la Loire sur la rive droite jusqu'aux Rosiers puis
qui la longe dans l'autre sens sur la rive gauche. Il arrive que dans
nos pérégrinations, nous rencontrions des sculptures originales
comme aux Rosiers-sur-Loire, cette curieuse fontaine vivante (ou
presque).
D'une seule voix, nous avons plébiscité le prieuré de Saint-Georges-des-Sept-Voies comme lieu de pique-nique. Il faisait beau et chaud et certains ont pris des coups de soleil. Cependant le lieu valait cet arrêt prolongé.
Nous y avons même rencontré une jeune chouette qui n'était pas dans un état conforme à son nom. Souhaitons lui bonne chance dans sa vie de noctambule.
La chaise du diable a accueilli un lot inhabituel de pseudos prestigieux.
C'est dans cette même commune que nous avons découvert un lieu insolite et troglodytique, l'Hélice Terrestre, oeuvre de Jacques Warminski.
Ce ne fut pas la seule rencontre inhabituelle pour des citadins. En effet, outre les distributeurs de baquettes, nous avons rencontré une espèce de dinosaure de la communication : une cabine téléphonique.
Le soir, après le champagne apéritif, nous avons pu apprécier une tartiflette, œuvre collégiale finalisée par les cordons-bleus Chantal et Anne-Marie (vive Chantal et Anne-Marie!).
Malheureusement, c'était la dernière
soirée de notre beau WEPP.
Dimanche matin, chacun est reparti en
se promettant de se retrouver l'année prochaine.
François, est-il si naïf qu'il pense récolter des étoiles supplémentaires en nous photographiant .
Non, François, ce n'est pas comme cela que ça marche!
François, est-il si naïf qu'il pense récolter des étoiles supplémentaires en nous photographiant .
Non, François, ce n'est pas comme cela que ça marche!
Alors, la Sarthe,
en 2017 ?
Il semble en revanche que nous ayons
atteint le maximum en nombre de participants. Si ce n'est pas simple
de trouver un gite approprié, c'est encore possible. En revanche,
cela devient une très grosse tâche d'assurer les repas pour autant
de personnes avec un matériel qui n'est pas toujours adapté aux
circonstances.
Quoiqu'il en soit, depuis que ce
rassemblement existe, il apparaît bien qu'il est devenu
incontournable pour chacun d'entre nous.